Chez Astaé, la diversité n’est pas un sujet, elle fait partie de notre culture de citoyens du monde car elle correspond à la diversité de la société dans laquelle nous vivons.
Au cours des années passées à défendre des dirigeants des expatriés, des femmes, des homosexuels, etc…, de toutes origines et religions, le cabinet a développé bien plus qu’une expertise sur les questions de discrimination. Il s’agit d’un domaine du droit où les règles sont nombreuses mais les décisions judiciaires encore trop souvent timides.
Notre engagement à cet égard correspond à l’ADN du cabinet. En effet, s’il peut parfois être nécessaire de justifier de ce que l’on a fait ou de ce que l’on n’a pas fait, personne ne devrait jamais avoir à justifier de ce qu’il/elle est ou n’est pas.
Le fait d’être une femme, la grossesse, la situation de famille, l’âge, la couleur de peau, l’origine ethnique, la nationalité, l’état de santé, l’orientation sexuelle ou la confession, pour ne retenir que quelques-uns des critères définis par la loi, ne devraient jamais entrer en ligne de compte dans l’appréciation portée par un employeur sur les performances professionnelles.
Ces critères n’autorisent pas une entreprise à pratiquer une distinction dans les rémunérations, l’attribution d’un avantage ou les progressions de carrière. De telles pratiques constituent des discriminations pouvant dégénérer en harcèlement moral dont Astaé obtient, souvent, la condamnation.
Astaé se mobilise tout particulièrement sur les retours de congé de maternité et le critère de l’âge qui concerne – tôt ou tard – tout dirigeant. Nous nous trouvons régulièrement à défendre des femmes privées de le poste après un congé de maternité ou parental et des dirigeants poussés vers la sortie, après des années de bons et loyaux services.
Parce que nous prenons au sérieux les concepts de responsabilité sociétale et parce que tout le monde n’a pas eu l’opportunité de devenir dirigeant ou cadre-dirigeant, chacun des avocats d’Astaé consacre environ une semaine par an à des missions d’aide juridictionnelle ou de pro bono.
Depuis près de dix ans, les fondateurs du cabinet ont bâti une maison dans laquelle ils ont créé une association au profit des enfants des rues de la ville d’Ambositra à Madagascar. Ils en assurent le financement et le suivi en se rendant sur place plusieurs fois par an.