Diverses difficultés sont susceptibles d’émailler la vie professionnelle des expatriés.
Le plus souvent, ces difficultés naissent de la volonté de l’employeur de mettre un terme anticipé à l’expatriation : parti pour une période de 3 ans, le salarié apprend que la maison mère veut le rapatrier au bout de 2 par exemple. Dans ce cas, il faut recourir aux services d’avocats spécialistes de l’expatriation pour obtenir soit le maintien sur place pendant le temps nécessaire (par exemple en cas d’enfants scolarisés) et, dans tous les cas la juste compensation du préjudice éventuellement subi en cas de rapatriement abusif.
Parfois, les difficultés sont provoquées par le management de la société d’accueil, avec laquelle un contrat de travail local a pu être signé. Dans un tel cas, les avocats d’Astaé font appel à leur réseau d’avocats locaux pour que l’expatrié soit parfaitement accompagné dans le pays d’accueil.
Si la situation évolue vers une rupture du contrat par la société d’accueil, l’expatrié bénéficie généralement des dispositions françaises du Code du travail lui octroyant le droit à un rapatriement en France et à une réintégration au sein de la société d’origine.
La loi française prévoit en effet une obligation de rapatriement et de réintégration de l’expatrié. Il n’est cependant pas rare que la réintégration en France n’ait pas été anticipée et qu’aucune offre sérieuse de réintégration soit formulée, voire qu’à son retour l’expatrié soit rétrogradé ou mis au placard.
Il est alors nécessaire de recourir à de véritables spécialistes de l’expatriation pour pouvoir retrouver des conditions de travail acceptables ou faire valoir ses droits.